Finalement, c'est une brochette de personnages qui ne représentent qu’eux même mais qui ont en commun une haine maladive de la monarchie et qui se sont déjà exprimés par des écrits ou des actes auxquels fr3 a fait appel pour parler de la supposée face cachée du souverain.
Dans un communiqué de
fr3 relayé par les médias de l’hexagone et en plus de Moulay Hicham qui reste à
part, il s'agit de Karim Tazi, Fouad Abdelmouni, Najib Akesbi, Aboubakr Jamai,
Ali Lmrabet, Mustapha Adib, Abderrahim Mernissi, Jean Peyrelevade, Catherine
Gracie. On a même fait appel à Gilles
Perault auteur d’un livre contesté sur feu Hassan II et qui ne connait ni de près
ni de loin le nouveau Roi. Il s’agit
donc bien d’une émission à charge contre SM le Roi car l’objectivité aurait
voulu que pour parler d’une supposée face cachée du souverain c’est d’abord et surtout
faire parler ses intimes. Parler de la fortune du Roi et de la manière avec
laquelle elle est gérée c’est aussi faire appel aux gestionnaires de cette
fortune ou à leurs représentants. Ce qui
n’a nullement été le cas. L’intention de nuire est donc manifeste.
Cette émission annoncée à grand effort de publicité rappelle ce que nous avons déjà connu au début du règne de Sa Majesté Mohammed VI. En effet si cette intronisation le 31 juillet 1999 a été accueillie avec espoir par le pays elle a été reçu avec scepticisme par certains journalistes dont l’ancien correspondant du Monde à Rabat Jean Pierre Tuquoi pour qui le jeune Roi serait « rapidement emporté par une vague islamiste ». Dans son livre, « le Dernier Roi » publié deux ans après l'arrivée de Mohamed VI au pouvoir, il raconte tout simplement que celui-ci n'avait pas « les qualités requises » pour régner. « Mohammed VI ne s'exprime guère, n'a lancé aucune réforme d'envergure, travaille peu… ». Un jugement sans appel.
Cette émission annoncée à grand effort de publicité rappelle ce que nous avons déjà connu au début du règne de Sa Majesté Mohammed VI. En effet si cette intronisation le 31 juillet 1999 a été accueillie avec espoir par le pays elle a été reçu avec scepticisme par certains journalistes dont l’ancien correspondant du Monde à Rabat Jean Pierre Tuquoi pour qui le jeune Roi serait « rapidement emporté par une vague islamiste ». Dans son livre, « le Dernier Roi » publié deux ans après l'arrivée de Mohamed VI au pouvoir, il raconte tout simplement que celui-ci n'avait pas « les qualités requises » pour régner. « Mohammed VI ne s'exprime guère, n'a lancé aucune réforme d'envergure, travaille peu… ». Un jugement sans appel.
Cette cabale contre le Roi a été ponctuée par le livre
Catherine Graciet et Eric Laurent ( tous deux poursuivis actuellement pour
chantage « Le Roi Prédateur ». Pour les rédacteurs du livre, Mohammed V I« n'a
aucun intérêt pour la chose publique et pas la moindre fibre politique. Seules
comptent les affaires ». Aucun bilan n’est fait sur les années de règne du Roi.
Or il est évident que l’on ne peut parler du dirigeant d’un pays sans parler
essentiellement de son bilan et réalisations et non pas sur la sympathie qu’il
vous inspire ou de sa fortune. Est –il donc vrai que le Roi ne s’occupe que de
sa fortune ? Ceux qui connaissent le pays savent que Mohammed VI a transformé
le Maroc en un vaste chantier, parcourant quotidiennement le pays de long et en
large, initiant des projets de développement, en assurant personnellement le
suivi et l’exécution : infrastructures, énergies renouvelables assainissement
et réhabilitations urbaines et a mené dès le début de son règne une lutte
contre la corruption et le trafic de drogue.
Le pays a recouvré
ses capacités d’investissement perdu dans les années 80 et 90.Plus de deux
millions de marocains ont été tiré du seuil de pauvreté. Ayant le PIB par
habitant le plus bas du Maghreb, le SMIC le plus haut et ses cadres sont les
mieux payés. Le taux d’analphabétissme qui était de plus de 50% au moment de
l’accession de Mohamed V au trône est passé à 30% pour être ramené à 20%
ensuite et être éradiqué dans les années 2020. La Lutte contre la pauvreté et
la consécration des droits de la femme avec le nouveau code de la famille «
Moudawana ». Cette réforme voulue et imposée par le Roi aurait pu être beaucoup
plus audacieuse sans les réticences de certains milieux conservateurs notamment
islamistes.
La réconciliation des marocains avec leur passé récent avec
l’Instance Equité et Réconciliation. La couverture médicale est en phase d’être
réalisée pour tous. A l’accession au trône du roi, le pays comptait 300 km d’autoroute,
1800 km actuellement en desservant le pays du nord au sud, d’est en ouest. Les plans
d’électrification et d’adduction en eau potable sont passés de 50% à plus de 90%
actuellement. Le pays est doté d’un cap et d’une vision 2020 et de plans
sectoriels en cours de réalisation dans les infrastructures, l’industrie,
l’agriculture, l’énergie avec le plan solaire et le tourisme. Sur le plan
politique les réformes constitutionnelles initiés par le Roi qui étaient
regardés avec scepticisme sont des avancées notables sur le chemin de la
démocratisation du pays.
Le relais de ces jugements sur le Roi du Maroc était
représenté dans le pays par le « Journal hebdomadaire » qui titrait presque
chaque semaine sur le Roi et « son affairisme ». Une obsession maladive de
Boubker Jamaii qui a trouvé son apogée dans sa célébré lettre ouverte envoyée
au souverain pour lui « montrer comment il doit diriger son pays » ce
qui en dit long sur une certaine mégalomanie qui caractérise le personnage.
Avec la disparition de cet hebdomadaire, certains de ses journalistes ont
continué leur croisade contre la monarchie. C’est le cas notamment des
journalistes Ali Amar et Zineb El Ghazoui qui remplissaient des pages concernant
le Maroc sur des journaux étrangers toujours avec la même hargne contre la
monarchie. Ainsi pour Ali Amar « Les
réformes initiées par le Roi ne sont que des reformes en trompe l’œil ».
Avec les déboires du mouvement du 20 février, c’est le pays et ses élites qui
sont parfois insultés « Le pays où la schizophrénie est reine ». Le pays pour
lui qui qui n’est qu’« Un terrain de chasse pour les pédotouristes ».Quand à
Ahmed Rida Benchemsi devenu « chercheur » à l’Université de Stanford aux USA où
officie le prince Moulay Hicham c’est sur les colonnes du journal Le Monde et
sur la presse anglo-saxonne qu’il déverse sa haine implacable sur la monarchie.
L’angle d’attaque est toujours le même avec cette nouvelle
émission de fr3 telle qu’elle a été présentée hier 25/05/2016 sur France Inter
à savoir la fortune Royale sauf que dans son délire Boubker Jamaii a parlé dans
cette présentation aussi de « mafia » au pouvoir et a fait des comparaisons
scandaleuses avec la Tunisie de Ben Ali l’Egypte de Moubarak et la Syrie de
Assad rien que ça.
il faut savoir que c'est Catherine Graciet qui etait la patronne de "le journal" .....elle les a tous sous ces pieds le Jamaï et les autres .....c'etait son troupeau qu'elle faisait marcher docilement leur promettant leur internalisation ....hhhhhh finalement ...personne ne les connait ...sauf nous ,les internautes et leur maitres francaouis ...sans parler du valet du prince hicham ,Benchemsi ....la honte !
RépondreSupprimerBONNE LECTURE ET COMPLIMENTS
RépondreSupprimerhttp://www.libe.ma/Devoir-ou-delit-d-ingerence-un-peche-d-indigence-_a75310.html
DR IDRISIS MY AHMED
BONNE LECTURE ET COMPLIMENTS
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DR IDRISSI MY AHMED
Merci Docteur.
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