Dans son
ouvrage «La Renaicendre ou mémoires d’une Juive marocaine et patriote» passé
presque inaperçu dans la presse de l’hexagone Nicole Elgrissy raconte comment Marocaine, juive
de confession, elle a refusé l'exode et
préféré continuer de vivre au Maroc. Elle explique de ce fait la
relation particulière, fruit d’une histoire séculaire qu’entretiennent les juifs
marocains avec leur pays.
Le but de ce blog et de mes articles dans la presse est de participer au débat national ; saluer les avancées de notre pays mais aussi relever les insuffisances et les défis qui me semblent retarder son développement.
Sélection du message
Salah El Ouadie, une vie, une famille.
Salah El Ouadie poéte connu mais militant pour la démocratie, l'état de droit, et les droits de l'homme et ami, tres ancien ami pui...
vendredi 30 décembre 2016
lundi 26 décembre 2016
Maroc Gdim Izik en 2010 : de l’assassinat des forces de l’ordre à la manipulation de l’opinion.
Le procès de l’affaire des assassins des forces de l’ordre à
Gdeim Izik le 08 novembre 2010 a été ouvert ce lundi 26 décembre devant la Cour
d’appel de Rabat (annexe de Salé) mais a été reporté au 23 janvier rapporte le
site d’information 360.ma. Ce report a été décidé sur requête de la défense des
25 accusés qui ont demandé du temps pour préparer leurs plaidoiries.
Rappel des événements
qui ont donné lieu à ce carnage. Il était 7 h du matin, lundi, 8 novembre 2010
quand les forces de sécurité reçurent l'ordre d’intervenir sans armes pour
raser le camp de Gdim Izik, après que toutes les voies de dialogue aient été
épuisées pour trouver une issue à cette situation somme toute inacceptable.
Seulement, les forces de l'ordre ont été empêchées d'accéder au campement et se
sont heurtées à une réaction violente de la part d'éléments armés d’armes
blanches. Des bouteilles incendiaires (cocktails Molotov) et des bonbonnes de
gaz ont été utilisées par ces personnes lors des affrontements. Ces derniers
ont dégénéré en manifestations qui ont touché toute la périphérie de Lâayoune.
Les manifestants venus du campement en question ont alors mis le feu à
plusieurs établissements publics, notamment au Centre régional d'investissement
(CRI), au siège du Conseil régional, dans des agences bancaires et de nombreux
commerces. Le centre de la ville de Lâayoune n'ayant pas été touché
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