Des analystes, journalistes ou autres rangent les mouvements de protestation au Maroc au même titre que les mouvements Tunisien, Egyptien ou libyen. S'il est vrai que ces mouvements ont face book comme dénominateur commun, ils sont bien différents. Dans les trois pays, ce sont des lames de fond comprenant toutes les couches de la population, qui ont embrasé ces pays contre des dictatures sanguinaires qui imposaient des états d'urgence.
Or au Maroc, s'il est vrai que des jeunes de face book sont derrière le déclenchement du mouvement, ce sont, essentiellement deux mouvements politiques qui ont encadré la manifestation du 20/02/2011 et appellent à celle du 20 /03/2011 : La confrérie religieuse d'Al Adl Wal Ihssane (Justice et bienfaisance) et le mouvement d'extrême gauche « Annahjdimocrati ou la Voie démocratique ».
Or au Maroc, s'il est vrai que des jeunes de face book sont derrière le déclenchement du mouvement, ce sont, essentiellement deux mouvements politiques qui ont encadré la manifestation du 20/02/2011 et appellent à celle du 20 /03/2011 : La confrérie religieuse d'Al Adl Wal Ihssane (Justice et bienfaisance) et le mouvement d'extrême gauche « Annahjdimocrati ou la Voie démocratique ».