C’est par hasard que je suis tombé sur ce titre d’une chanson d’Oum Kaltoum qui date de 1952 en arabe « Misrou Tatahadat An Nafsiha »ou « l’Egypte parle d’elle-même ». La chanson commence par. « Les êtres vivants se demandent comment je réalise mes exploits toute seule : les constructeurs de pyramides ayant lancé un défi à l’humanité entière ; je suis une couronne qui trône sur le moyen orient ». Un peu plus loin « Si dieu me rappelle à lui, l’Orient ne relèvera pas la tête après moi. Après les agressions de tant de nations, je me suis toujours relevée ».
Le but de ce blog et de mes articles dans la presse est de participer au débat national ; saluer les avancées de notre pays mais aussi relever les insuffisances et les défis qui me semblent retarder son développement.
Sélection du message
En matière d'héritage la femme juive en droit hébraïque n'a presque aucun droit.
Pourquoi donc ces défenseurs de droit des femmes ne se préoccupent-ils pas du sort fait aux femmes juives par les tribunaux rabbiniques y...
mardi 1 octobre 2013
Quand « l’Egypte parlait d’elle-même ».
C’est par hasard que je suis tombé sur ce titre d’une chanson d’Oum Kaltoum qui date de 1952 en arabe « Misrou Tatahadat An Nafsiha »ou « l’Egypte parle d’elle-même ». La chanson commence par. « Les êtres vivants se demandent comment je réalise mes exploits toute seule : les constructeurs de pyramides ayant lancé un défi à l’humanité entière ; je suis une couronne qui trône sur le moyen orient ». Un peu plus loin « Si dieu me rappelle à lui, l’Orient ne relèvera pas la tête après moi. Après les agressions de tant de nations, je me suis toujours relevée ».
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