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Algerie: pourquoi cette haine maladive contre le Maroc.

Quand la fraternité maghrébine est trahie par la rancune et la manipulation politique Une hostilité entretenue depuis des décennies Que les ...

samedi 25 octobre 2025

Algerie: pourquoi cette haine maladive contre le Maroc.

Quand la fraternité maghrébine est trahie par la rancune et la manipulation politique

Une hostilité entretenue depuis des décennies

Que les citoyens algériens nous expliquent, sincèrement et calmement, pourquoi cette haine maladive et persistante contre le Maroc.
Car il faut le dire sans détour : cette hostilité n’est pas récente. Elle semble entretenue, alimentée et instrumentalisée depuis des décennies par certains cercles du pouvoir algérien.
Tout le monde sait aujourd’hui que le dossier du Sahara marocain n’est qu’un prétexte commode pour justifier une animosité profondément enracinée.

Une haine devenue politique d’État

Cette haine s’est traduite par une série d’actes hostiles sans précédent :

-fermeture de l’espace aérien algérien aux avions civils marocains,

-rupture unilatérale des relations diplomatiques,

-imposition de visas aux citoyens marocains,

-campagnes d’insultes et de dénigrements quotidiens contre le Maroc et son Roi,

- organisation régulière de manœuvres militaires à la frontière, comme pour entretenir la tension et faire planer la menace.

Dans l’Algérie d’aujourd’hui, tout journaliste, intellectuel ou simple citoyen qui ose parler positivement du Maroc, ou simplement appeler à la réconciliation, risque la prison.
La répression atteint même le domaine du sport : les exploits du Maroc à la Coupe du monde 2022 et les victoires de nos jeunes en U20 ont été délibérément passés sous silence par les médias publics algériens, comme si la réussite marocaine était une offense nationale.

L’histoire contredit l’hostilité algérienne

Et pourtant, les faits sont têtus.
Les Turcs, avec une occupation de 314 ans, et les Français, avec 132 ans de colonisation sanglante, ont fait subir au peuple algérien des souffrances indicibles : massacres, spoliations, humiliations et déracinements.
Mais malgré tout cela, l’Algérie indépendante n’a jamais développé une telle haine à leur égard.
Bien au contraire, elle entretient aujourd’hui avec ces deux pays des relations diplomatiques, économiques et culturelles soutenues.

Alors pourquoi cette hostilité acharnée envers le Maroc, qui n’a jamais colonisé ni agressé l’Algérie, mais qui, au contraire, l’a aidée et soutenue dans sa lutte pour la liberté ?

Le Maroc de Mohammed V, pilier du combat pour l’indépendance algérienne

L’histoire est claire : le Maroc, sous le règne du Sultan Mohammed V, a été un allié fidèle et courageux du peuple algérien durant sa guerre d’indépendance.
Le Royaume a ouvert ses frontières, offert abri, armes et soutien logistique aux combattants du FLN, et plaidé leur cause dans toutes les tribunes internationales.
Ce soutien, inspiré par la fraternité et le sens du devoir, fut un acte de solidarité sincère, sans calcul politique.
Et le Maroc en a payé le prix fort, subissant la colère du colonisateur français.

Mais après l’indépendance, au lieu de reconnaissance, ce fut la désillusion :
au lieu d’une main tendue, un poing fermé ;
au lieu d’un frère, un adversaire.

Une politique héritée du colonialisme

L’Algérie officielle a fini par reprendre les thèses coloniales visant à affaiblir le Maroc.
Elle a soutenu et financé le Polisario, instrument docile de déstabilisation régionale, reprenant ainsi la logique des anciens colonisateurs : diviser pour régner.
Au lieu d’œuvrer à la construction d’un Maghreb uni et fort, Alger a préféré alimenter la discorde, au détriment de ses propres citoyens et de la stabilité de la région.

Le Maroc a le droit de se défendre

Les dirigeants algériens reprochent aujourd’hui au Maroc d’avoir normalisé ses relations avec Israël.
Mais le Maroc, État souverain, a le droit de choisir ses alliances.
Et quand un pays fait face à une hostilité militaire ouverte à ses frontières, il est dans son droit le plus absolu de rechercher la sécurité par tous les moyens nécessaires.
S’il fallait, symboliquement, s’allier avec le diable pour protéger sa souveraineté, le Maroc y serait légitimement autorisé.
Aucun pays n’a le monopole de la morale diplomatique, encore moins ceux qui cultivent la haine et la division.

Un appel à la lucidité et à la raison

Ce que nous, au Maroc, n’arrivons pas à comprendre, c’est cette obstination à ériger un mur entre deux peuples frères, liés par la foi, la langue, l’histoire et la géographie.
Le Maroc, fidèle à sa tradition de sagesse et à la vision clairvoyante de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, continue malgré tout à tendre la main, dans l’espoir qu’un jour, la raison et la fraternité l’emporteront sur la rancune et la manipulation.

Aux Algériens lucides, aux intellectuels libres et aux jeunes conscients, une seule question s’impose :
Pourquoi cette haine ?
Et surtout, à qui profite-t-elle ?

Pourquoi cette haine maladive contre le Maroc ?

Que les citoyens algériens nous expliquent, sincèrement et calmement, pourquoi cette haine maladive et persistante contre le Maroc.

Car il faut le dire sans détour : cette hostilité n’est pas née d’hier. Elle semble entretenue, alimentée et instrumentalisée depuis des décennies par certains cercles du pouvoir algérien.
Tout le monde sait aujourd’hui que le dossier du Sahara marocain n’est qu’un prétexte, une façade commode pour justifier une animosité profondément enracinée.

Une haine devenue politique d’État

Cette haine s’est traduite par une série d’actes hostiles sans précédent :

  • fermeture de l’espace aérien algérien aux avions civils marocains,
  • rupture unilatérale des relations diplomatiques,
  • imposition de visas aux citoyens marocains,
  • campagnes d’insultes et de dénigrements quotidiens contre le Maroc et son Roi, relayées par la presse officielle et certains responsables algériens,
  • et, fait aggravant, organisation régulière de manœuvres militaires à la frontière maroco-algérienne, comme pour entretenir la tension et faire planer la menace.

Pire encore, dans l’Algérie d’aujourd’hui, tout journaliste, intellectuel ou simple citoyen qui ose parler positivement du Maroc, ou même évoquer la nécessité d’un rapprochement entre les deux peuples, risque la prison.
Cette répression s’étend même au domaine sportif : les exploits historiques du Maroc à la Coupe du monde 2022 et les victoires récentes de nos jeunes en U20 ont été délibérément passés sous silence par les médias publics algériens, comme si la réussite marocaine était un affront.

Le Maroc, un frère bienveillant, pas un ennemi

Pourtant, l’histoire parle d’elle-même.
Les Turcs, avec une occupation de 314 ans, et les Français, avec 132 ans de colonisation marquée par des massacres et des humiliations sans fin, ont fait subir au peuple algérien des souffrances incommensurables.
Et malgré cela, l’Algérie indépendante n’a jamais nourri à leur égard une telle haine.
Au contraire, elle entretient aujourd’hui avec ces deux pays des relations économiques et diplomatiques soutenues.

Alors pourquoi cette hostilité acharnée envers le Maroc, ce pays voisin qui n’a jamais colonisé ni agressé l’Algérie, mais qui, au contraire, l’a aidée et soutenue dans ses moments les plus difficiles ?

Le Maroc de Mohammed V, soutien du peuple algérien

L’histoire est claire : le Maroc, sous le règne du Sultan Mohammed V, a soutenu la cause de l’indépendance algérienne avec conviction et courage.
Il a ouvert ses frontières, offert abri, armes et assistance logistique aux combattants du FLN.
Il a plaidé leur cause sur la scène internationale, au nom de la fraternité maghrébine et du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Ce soutien, loin d’être un calcul politique, était un acte de foi, inspiré par une vision d’unité et de solidarité.
Le Maroc a payé ce choix très cher, subissant la colère du colonisateur français, mais sans jamais renier son engagement envers ses frères algériens.

Et pourtant, à l’indépendance, au lieu de reconnaissance, ce fut la désillusion.
Au lieu d’une main tendue, le Maroc a trouvé un poing fermé.
Au lieu d’un partenaire loyal, il a découvert un voisin décidé à le combattre sur tous les fronts.

Une politique de division héritée du colonialisme

L’Algérie officielle a choisi de reprendre à son compte les thèses coloniales visant à affaiblir le Maroc.
Elle a créé et financé le Polisario, instrument de déstabilisation régionale, et a repris le vieux rêve des puissances coloniales : diviser le Maghreb pour mieux le neutraliser.
Au lieu de contribuer à une intégration régionale bénéfique à nos peuples, Alger a préféré entretenir la discorde et faire du Maroc un bouc émissaire permanent.

Le droit du Maroc à se défendre

Les dirigeants algériens reprochent aujourd’hui au Maroc d’avoir normalisé ses relations avec Israël.
Mais le Maroc, souverain dans ses décisions, a le droit de choisir ses alliances.
Un État responsable doit savoir défendre ses intérêts vitaux, surtout quand il fait face à une hostilité militaire persistante à ses frontières.
Et s’il fallait s’allier avec le diable pour garantir sa sécurité et préserver son intégrité territoriale, le Maroc y serait pleinement en droit.
Car aucun pays au monde n’a le monopole de la morale diplomatique, encore moins ceux qui cultivent la haine et la division.

Un appel à la lucidité et à la raison

Ce que nous, au Maroc, n’arrivons pas à comprendre, c’est cette obstination à ériger un mur entre deux peuples frères qui partagent la même foi, la même langue, la même histoire et le même destin.
Le Maroc, fidèle à sa tradition de sagesse et à la vision clairvoyante de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, continue malgré tout à tendre la main, dans l’espoir qu’un jour, la raison l’emportera sur la rancune.

Aux Algériens lucides, aux intellectuels libres et aux jeunes conscients, nous disons :
interrogez-vous.
Pourquoi cette haine ?
Et surtout, à qui profite-t-elle ?