Après l'échec patent du sommet arabe d'Alger, les autorités algériennes à travers leur agence de presse nationale APS, s'en prennent de manière éhontée à notre ministre des affaires étrangères. Dans un communiqué officiel diffusé à cet effet, cette agence de presse reprise largement par la presse algérienne aux ordres allie mensonges à la calomnie et des insultes à l'adresse de M Bourita.
Ces accusations mensongères et ces insultes ne sont ils pas proférés par les dirigeants algériens pour essayer de cacher le camouflet de l'échec de ce sommet et l'accueil indigne et les harcèlements faits à la délégation marocaine.?
Devant la presse arabe et internationale M Bourita dans des termes diplomatiques et mesurés avait parlé de tout cela y compris de la misère et du harcèlement fait à nos journalistes. En dépit de toutes ces bassesses, la délégation marocaine a participé de manière positive et constructive à ce sommet voué malgré tout à l'échec en l'absence des chefs d'Etat les plus influents du monde arabe. Car c'est la participation de M Sissi qui a sauvé les meubles dans ce sommet qui s'est terminé par des formules et des déclarations creuses et répétitives de sommet en sommet avec pas une seule mesure concrète et applicable.
En constatant la justesse des propos de M Bourita, des organes de TV occidentaux avaient essayé de l'interviewer mais ont été
empêchés par les services algériens. Encore une aberration.
S'en prendre à M Bourita de cette manière est un aveu implicite de l'échec de ce sommet.
En tout cas, nous; nous disons merci et bravo à M Bourita qui s'est révélé un vrai soldat combattant pour la défense des intérêts de son pays de manière intelligente, diplomatique et civilisée mais ferme et sans concessions.
Peu vous importe les cri M Bourita, les calomnies et les insultes -armes des faibles par excellence- des dirigeants algériens qui dos au mur n'ont plus que des insultes et de la calomnie contre la justesse de notre cause nationale.
Merci et bravo aussi à tous les membres de la délégation marocaine et à nos journalistes empêchés de faire leur travail.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire