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En matière d'héritage la femme juive en droit hébraïque n'a presque aucun droit.

 Pourquoi donc ces défenseurs de droit des femmes ne se préoccupent-ils  pas du sort fait aux femmes juives  par les tribunaux rabbiniques y...

jeudi 14 octobre 2021

Maroc : pour une diplomatie offensive contre Alger.

 Après la publication de la dernière résolution du Conseil de Securite sur le Sahara qui a balayé d'un revers de main les pressions de toutes sortes des dirigeants d'Alger, il est temps à mon avis pour le Maroc de capitaliser sur ce succès et d'aller beaucoup plus loin dans une offensive diplomatique à même de corriger une situation inique et unique au monde en mettant la communauté internationale devant ses responsabilités. La politique de retenue de notre pays devant les provocations des dirigeants algériens est le comportement le plus adéquat contre une sorte de schizophrénie qui s'est emparé de ces dirigeants incapables de faire face aux défis économiques et sociaux de leur pays en recourant à la technique employée par les dictatures de par le monde. A savoir imputer tous leurs déboires à un ennemi extérieur. Mais cette politique de retenue perçue plus comme une faiblesse n'est plus suffisante à mon avis à l'encontre d'un régime aux abois. 

En effet dans le cas des dirigeants algériens, les débordements dépassent tout entendement et deviennent une sorte de paranoïa collective vers laquelle ils sont en train d'entrainer toute la population algérienne à coup de mensonges éhontées y compris en travestissant l'histoire des deux pays au plus haut niveau de l’Etat. Mais devant cette logorrhée d'insultes, de mensonges et de calomnies contre notre pays et les provocations de toute sortes : coupure des relations diplomatiques, interdiction de l’espace aérien algérien aux avions marocains, coupure des approvisionnements du Maroc en gaz, interdiction de toute échange et toute relations économiques, et commerciale ,coupure des échanges électriques entre les deux pays, sanctions et emprisonnement de tout journaliste algérien qui ose faire un papier favorable au Maroc ou décrit la moindre avancée de ce pays . Provocations militaires de tout ordre contre le Maroc en engageant notamment des manœuvres militaires à nos frontières dont les derniers ont pour thème comment, envahir le pays voisin en langue arabe اكتساح.

Devant cette situation unique au monde, notre pays se prépare au pire et notre armée est aux aguets pour repousser toute incursion mais cela n'est pas suffisant de mon point de vue. Le secours au Conseil de Sécurité de l'ONU et à la communauté internationale pour agression devient une nécessité. Car aux termes de l'article 24 de la charte de l'ONU, les pays membres de l'ONU confèrent " au le conseil de sécurité la responsabilité principale du maintien de la paix et de la sécurité internationales et reconnaissent qu'en s'acquittant des devoirs que lui impose cette responsabilité le Conseil de sécurité agit en leur nom".

Dans un article de 2018, j' avais déjà proposé de couper les relations diplomatiques et de saisir le Conseil de Sécurité pour la guerre non déclarée des dirigeants d'Alger contre notre pays en arguant ,"...qu' il est temps pour notre pays de saisir le conseil de sécurité des nations unies pour condamner Alger et la sommer d'arrêter les actes de guerre contre son voisin de l'Est y compris de désarmer les mercenaires d'Alger qui agissent sur son territoire. En récupérant notamment les armes qu'ils ont fournies à ces mêmes mercenaires. Car en armant et en abritant des combattants contre le pays voisin Alger enfreint la charte des Nations Unies.

 A rappeler que pendant les hostilités, les combattants du Polisario armés par l’Algérie faisaient des incursions à partir du territoire algérien de Tindouf et attaquaient les troupes marocaines et repartaient tranquillement se réfugier en Algérie. Feu Hassan II qui était en droit d’exercer un droit de suite en territoire algérien s’est toujours interdit d’insulter l’avenir en engageant une guerre ouverte avec l’Algérie. L'Algérie continue d'abriter sur son territoire le Polisario, ( groupe armée hostile au Maroc). C'est un acte d'hostilité contre le Maroc et il doit être traité en conséquence.

Auparavant commençons par couper les relations diplomatiques avec Alger pour marquer notre dépit au sujet d'un pays qui nous endorme avec des messages de fraternité adressés au souverain alors qu'en sous-main, il mène une guerre non déclaré contre nous. Guerre économique en maintenant les frontières est du pays fermées pour couper notre pays de son prolongement arabe, guerre diplomatique en s'opposant partout au Maroc, guerre médiatique en mobilisant ses médias contre nous et enfin une guerre tout cours comme je l'ai signalé puis haut"

Avec les derniers développements, il n'est donc que temps pour notre pays de mettre les membres du Conseil de Sécurité devant leur responsabilité en adressant une mise en garde éventuellement une condamnation des agissements agressifs dont fait l’objet notre pays susceptibles de déstabiliser toute la région dans un conflit armé.

P.-S.

mercredi 14 juillet 2021

Maroc-Algérie qui a trahi qui?

 

L’organe porte-voix  de l’armée algérienne Al Jaich tel que  rapporté  par le journal algérien TSA  continue sur la lancée de haine contre « l’Etat voisin » lire le Maroc. À cet « État voisin qui voue une haine ancestrale et un ressentiment non dissimulés envers notre pays », i. « Qui a trahi le héros numide Jughurta en 104 av. J.-C. et l’a remis à Rome où il sera tué ? N’était-ce pas Bocchus, roi de la Maurétanie césarienne, le Maroc d’aujourd’hui ? »« Qui s’est retourné contre l’Emir Abdelkader en décembre 1847 et s’est allié à l’ennemi français pour l’encercler ? N’est-ce pas le sultan marocain Moulay Abdel Rahmane ? Qui a trahi les cinq dirigeants de la Révolution et les a donnés à la France en octobre 1956, alors que leur avion se dirigeait du Maroc vers la Tunisie ? N’était-ce pas l’héritier du trône marocain ? »C’est aussi le Maroc qui a « attaqué notre pays en octobre 1963, alors qu’il venait tout juste d’accéder à l’indépendance et qu’il n’avait pas encore pansé ses blessures, dans une tentative d’occuper et d’annexer les villes de Tindouf et de Béchar à son royaume », ajoute la revue de l’ANP.

Non content de travestir l’histoire, d’autres voix des services algériens ont pris l’habitude ces derniers temps, d’imputer au Maroc  à peu près  tout ce qui ne marche pas dans ce pays. La main du Makhzen ou du pouvoir marocain est semble-t-il derrière tous les maux qui gangrènent ce pays .Les derniers en date, les feux de forêt, la soif qui frappe le pays suite à la sècheresse  mais surtout à une gestion désastreuse des ressources en eau du pays  ; pire certains osent même parler de « l « empoisonnement de barrages ». Du délire ou  un ridicule qui dépasse l’entendement. Pour la fameuse trahison de la préhistoire,  les deux pays sous l’empire romain n’étaient même pas constitués en pays ou Etats  pour savoir qui a fait quoi. De plus comment peut ’on parler de trahison entre pays dans la préhistoire ?  Par contre nous au Maroc, nous savons ce que nous avons  fait pour ce pays et l’ingratitude de ses dirigeants.

Comment le pouvoir marocain (Makhzen) peut être contre ce pays avec lequel nous lient des liens y compris de sang que personne ne peut nier. Un petit rappel que j’ai déjà mentionné dans de précédents articles sur la solidarité et de ce fameux Makhzen (en principe les Rois du Maroc) tant décrié avec l’Algérie. Solidarité pour laquelle le Maroc a payé parfois un prix fort. Cela remonte au début de l’occupation de l’Algérie par la France. En effet Moulay Abderrahmane - sultan du Maroc à l'époque - avait soutenu le chef de la résistance algérienne l'Emir Abd el-Kader contre la colonisation française. De ce fait, un conflit a éclaté entre l'armée française et l'armée marocaine conduite par le Sultan Moulay Abderrahmane. Cette bataille s'est terminée par la défaite de cette dernière à Isly (14 août 1844). Par le traité de paix qui lui était imposé, le Sultan reconnut la présence française en Algérie et s'engagea par conséquent à ne plus soutenir l'Emir Abdelkader lequel après avoir mené une guérilla se rendit aux Français. Cette bataille d’Isly s’est soldée pour le Maroc par la perte de 800 hommes est un signe de solidarité dont les conséquences furent lourdes pour le pays : un tracé des frontières imposé par la France, l'affaiblissement du Pays qui a conduit à la perte de Tétouan en 1860 au profit de l'Espagne et un peu plus tard à la partition du Maroc entre la France et l'Espagne.

  A l'indépendance du Maroc en 1956 Mohammed V avait refusé l'offre de la France de restituer des territoires annexés du Maroc par la France à l’Algérie en contrepartie de ne plus héberger les combattants du FLN. Le roi Mohammed V voyait cette proposition comme un « coup de poignard dans le dos » des « frères algériens » et parvint séparément à un accord le 6 juillet 1961 avec le chef du Gouvernement provisoire de la République algérienne, Ferhat Abbas. A l’indépendance de l’Algérie, les de ce pays ont refusé de discuter du sujet et c’était le fait déclencheur de la fameuse « guerre des sables » entre les deux pays en 1963 dont parle le journal algérien Al  Jaich

En janvier 1961le Maroc s’était soulevé contre le projet colonialiste visant la partition de l'Algérie notamment lors de première conférence des pays africains à Casablanca. Ainsi sous la présidence de feu S.M. Mohammed V, accompagné de feu S.M. Hassan II, alors Prince Héritier, le Maroc a défendu l’intégrité territoriale de l’Algérie à cette conférence. Lors de la cérémonie d’ouverture, feu S.M. Mohammed V avait déclaré : « Nous proclamons que l’Algérie a droit à la liberté et à l’indépendance sans condition et dénonçons toute tentative criminelle visant le partage du territoire national algérien ».Cette position du Maroc a été reprise dans la résolution finale de cette conférence sur l’Algérie. La conférence ou étaient présents les Présidents Sekou Touré de la Guinée, Nekrumah du Ghana, Modibo Keita du Mali, Jamal Abdel Nasser de l’Egypte et deux représentants de la Tunisie et de la Libye. La conférence s’était opposée au partage de l’Algérie et a rejeté toute solution unilatérale et tout statut imposé ou octroyé.

 A signaler que pendant la guerre de libération de l’Algérie, le Maroc en dépit de ses maigres ressources a fourni assistance et hébergement aux combattants du FLN. N’est-il symptomatique que les équipes qui se sont reliés au pouvoir à Alger sont appelés par les algériens « le groupe d’Oujda » du nom de cette ville marocaine frontalière avec l’Algérie. A rappeler aussi qu’après son retour au pays et à la suite de la proclamation de l’indépendance du Maroc en 1956 le Roi Mohammed V n’avait pas manqué une seule occasion de rappeler que l’indépendance du Maroc est incomplète sans l’indépendance de l’Algérie. De plus le Maroc a officiellement fermé la porte à toute revendication territoriale alors qu’il est connu que la France avait annexé des larges portions du territoire marocain à l’Algérie considéré comme étant un département français alors que le Maroc lui était sous protectorat donc appelé un jour ou l’autre à recouvrer son indépendance.

Le 18 décembre 1975, quelques semaines après la Marche Verte, Houari Boumediene avait ordonné l’expulsion massive de 45 000 familles marocaines (350 000 personnes), pour la plupart établies depuis des générations en Algérie. Mais le plus flagrant reste le soutien à un peuple sahraoui qui n’existe que dans l’esprit des dirigeants algériens. Le Sahara est une aire géographique qui s’étend du Maroc à l’Egypte. S’il y a un peuple sahraoui, il serait transnational englobant outre le Maroc, tous les pays de l’Afrique du nord plus l’Egypte. Les dirigeants algériens prenant prétexte de la défense « du peuple du Sahara » mènent une véritable guerre non déclarée largement ignorée par médias de l’hexagone contre le Maroc : médiatique, économique, diplomatique voire guerre tout court.

Les autorités algériennes ont décidé de faire du Maroc un ennemi et agissent depuis longtemps en conséquence. Ni une prétendue rancune historique, ni l’affaire du Sahara séquelle de la guerre froide et qui au départ était une colère hystérique de l’ancien président Boumediene ; ni une quelconque hégémonie régionale d’un pays il est vrai immense mais désertique à 84% ne peuvent justifier une guerre qui ne dit pas son mot contre le voisin marocain. -Guerre économique en s’engageant dans une course folle aux -Guerre diplomatique en mobilisant ses diplomates dans toutes les organisations et forums internationaux contre le Maroc  -Guerre tout court, en armant et en abritant des combattants contre le pays voisin en violation de la charte des Nations Unies.

Je termine cet article qui répond à la haine de l’éditorial de l’organe de l’armée algérienne par un extrait du dernier appel  lancé par le Roi MohammedVI  en 2018  et  demeuré sans suite à ce jour  Dans un discours daté du 06/11/2018 le Roi Mohammed VI avait tendu  la main à l’Algérie dans ces termes « C’est, donc, en toute clarté et en toute responsabilité que je déclare aujourd’hui la disposition du Maroc au dialogue direct et franc avec l’Algérie sœur, afin que soient dépassés les différends conjoncturels et objectifs qui entravent le développement de nos relations. A cet effet, je propose à nos frères en Algérie la création d’un mécanisme politique conjoint de dialogue et de concertation. Le niveau de représentation au sein de cette structure, son format, sa nature sont à convenir d’un commun accord ».

samedi 22 mai 2021

Information et communication. Où on en est ?

 Il n'y avait pas longtemps, qu'un petit entrefilet dans un journal contre le Maroc et ses institutions donnait lieu à une  mise au point officieuse ou officielle pour corriger les choses. Cela encourageait beaucoup de patriotes ( j'ai l'honneur d'en faire partie) pour  prendre leur plumes ou leurs claviers pour défendre leur pays.

Or depuis quel que temps, notre pays et ses institutions sont attaqués pour ne pas dire traînés dans la boue par des médias européens et nord americains et des organismes internationaux de presse ou de droits de l'homme. De ce fait, la réputation du pays devient largement écornée en l'absence de réactions et de mises au point. 

Devant la démission des insitutions concernées ( ministères ou autres...,) chargés de donner la réplique à des attaques tendencieuces contre notre pays et ses institutions, des patriotes habitués à défendre leur pays ont aussi levé le pied surtout par manque d'arguments.

Resultat des courses, notre pays est traîné parfois dans la boue sans que personne ne réagisse. Les exemples ne manquent pas et  je n'en citerai que  deux exemples: le dernier article du Wasington Post et l'éditorial de ce jour du journal Le Monde.

Comment donc défendre notre pays et notre intégrité territoriale dans ce cas car les idioties, niaiseries et les invectives véhiculées souvent  sur les réseaux sociaux par certains et sensées defendre le  pays et notre Sahara ont parfois des effets inverses.

Le ministre porte-parole du gouvernement en charge de l'information,  la MAP,, le Conseil National de la Presse et les institutions chargés de défendre les droits de l'homme sont interpelés à ce sujet.

dimanche 14 mars 2021

La vaccination contre le Covid19 au Maroc ; succès escamoté.

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La campagne de vaccination qui connait un franc succès dans le pays n’a eu que peu d’échos dans la presse occidentale prompte à dénoncer tout ce qui ne fonctionne pas dans le pays et à s’ériger en donneur de leçons avec ses cohortes de « spécialiste du Maghreb et du monde arabes » ou présentés comme tels mais qui ne sont en réalité spécialistes en pas grand-chose si on exclut les tournures de phrases les jugements à l’emporte pièces. Ne parlons pas de la presse de notre voisin de l’Est qui escamote largement ce succès du « pays ennemi » présenté comme tel sans vergogne par les plus hautes autorités de ce pays. Fidèle donc à mon profil sur ce site, je vais essayer à travers cet article  de donner des éclaircissements sur cette campagne de vaccination mais aussi un rappel succinct de, comment notre pays  avec ses maigres ressources a fait face à  la pandémie du Covid19 dès son apparition.

Un peu plus d’un mois après le début de la campagne de vaccination gratuite contre le virus Covid-19 au Maroc, qui a été lancée par le roi Mohammed VI qui a reçu la première injection devant les objectifs des caméras, le 28 janvier, le nombre de bénéficiaires de cette campagne au vendredi 12/03/2010 est de  4.169.133 avec 1.224.959 ayant reçu la deuxième dose du vaccin. De ce  fait, le pays a déjà fait au minimum une première vaccination à tous ses seniors âgés de plus de 65 ans y compris les étrangers vivant sur son territoire. De plus le personnel de l’éducation et de la santé âgé de plus de 45 ans , de même que l’armée et les forces de sécurité ont été tous prioritaires dans cette opération et ont reçu leur dose de vaccin. Actuellement la barre est descendue aux moins de 65 ans ; le pays ayant une population essentiellement jeune.  Avec l'enregistrement de ces chiffres importants tambours battant en moins d’un mois et demi, le Royaume a montré une maitrise certaine dans la gestion de la vaccination, puisqu'il se classe au premier rang, en Afrique, en terme de nombre et de taux d'individus bénéficiant de la vaccination, et au 15e  rang au niveau mondial.

Concernant la vaccination, une stratégie aux niveaux national, régional et local a éte adopté.. Un entrepôt national a été mis en place pour stocker les vaccins et un plan de réception, de stockage et de distribution du vaccin a été dans des conditions sûres. 900 centres de vaccination ont été créés à coté de dizaines d’autres unités mobiles destinées à desservir le monde rural et l’habitat éclaté. Pour recevoir le vaccin, tout ce qui est exigé du citoyen est un court message texte qui comprend son numéro de carte nationale. Après quelques secondes, il reçoit systématiquement son lieu et date de vaccination  si elle est proche.. Si le concerné  fait partie du groupe cible on lui notifie sur son portable la date de vaccination et s'il ne remplit pas encore les conditions pour en bénéficier on lui demande d’attendre. De plus, des auxiliaires d’autorité « les mokadem » ont été aussi mobilisé pour rappeler aux concernés, les rendez-vous de vaccination.  Cette application a été rendu possible à partir de la base de données des cartes nationales. Si la campagne marocaine de vaccination se poursuit comme prévue, les autorités de santé prévoient d'obtenir l'immunité collective en mai ou juin prochain et le pays retrouverait sa vie normale..

 Mais le succès dans la gestion de la campagne de vaccination fait partie aussi d’une vigilance certaine  dans la gestion de la nouvelle crise du Covid19 dans son ensemble. Ainsi avec l'apparition du premier cas de Covid19 dans le Royaume, le Maroc a été l'un des premiers pays à déclarer l'état d'urgence sanitaire, fermer les frontières aériennes, terrestres et maritimes et décréter le confinement et ce en dépit des dégâts colossaux pour l’industrie touristique qui représente 8 à 10% du PIB et des centaines de milliers d’emplois parce qu’on a privilégié l’impératif sanitaire. Mobiliser des industries textiles pour fabriquer des masques à bas prix et les mettre à la disposition de la population à des prix modiques.  

Dès le début de la pandémie, le Souverain a ordonné la création d'un fonds spécial pour gérer et faire face à l'épidémie du Covid19 et le premier contributeur est le fonds El Mada le fonds d’investissement de la famille royale avec  plus de 200 Millions de dollars. Des hommes d’affaires ont suivi, des banques, des institutions financières et des institutions publiques  avec des contributions s'élevant à plus de 34 milliards de dirhams (environ 3,5 milliards de dollars).  Ce fonds a été alloué pour couvrir les dépenses et moyens de santé, soutenir l'économie nationale en octroyant des aides aux entreprises et  atténuer les répercussions sociales de cette crise en allouant  des montants mensuels  pendant le confinement aux employés et aux ouvriers qui ont perdu  leur travail mais aussi à ceux qui sont sans travail ou vivant dans la précarité et l’informel.