Si pour le code penal. l'avortement est un crime, pour l'Etat c'est d'abord un probléme de santé publique.
Sur les 800 avortements clandestins journaliers ou plus cités dans le pays et dont certains se terminent par le décès de la femme concernée et qui sont dénoncés par l'OMS, la justice et c'est son droit tombe sur une journaliste d'Akhbar Al Youm.
Automatiquement ça déchaîne la toile qui ne peut voir dans cette interpellation les fruits du hasard en dépit des éclaircissements juridiques données par les sources sécuritaires notamment sur Hespress qui n'arrivent toujours pas à donner une explication plausible à ce "hasard".
Le Parquet de son coté s'est cru obligé de diffuser un communiqué à ce sujet précisant que cette interpellation n'avait rien à voir avec "le statut de journaliste" de l’intéressée. En plus d'ajouter à la confusion dans quelle mesure ce communique ne porte-t-il pas atteinte ä la présomption d'innocence et surtout au secret de l'instruction ? Aux juristes et à la justice de répondre.?
En réalité, si les faits sont reconnus par le tribunal, la journaliste incriminée de par sa formation sait que l'avortement est un crime et est reconnu comme tel et sévèrement sanctionné.
Le vrai combat à mon humble avis est qu'il faut militer contre la pénalisation du l'avortement. Car les milliers de cas d'avortement effectués clandestinement se traduisent par des décès ou de graves complications irréversibles pour les femmes concernées.
De plus en plus des infanticides qui sont de crimes horribles on sait le sort réservé par certains parents pour des enfants non désirés qui se traduit souvent par de la maltraitance et la sortie en délinquance pour ces pauvres gosses.
En plus du cas de liberté individuelle reconnu par la constitution à chacun et du droit pour la femme de disposer de son corps, c'est donc d'abord une question de santé publique et l'Etat doit pouvoir traiter cette question comme telle.
En amendant le code pénal permettant ainsi l'IVG tout en la médicalisant et en la réglementant ceci permettrait d'éviter les décès mentionnés et les graves séquelles pour les femmes qui ne recourent pas aux médecins spécialement formés.
Sur les 800 avortements clandestins journaliers ou plus cités dans le pays et dont certains se terminent par le décès de la femme concernée et qui sont dénoncés par l'OMS, la justice et c'est son droit tombe sur une journaliste d'Akhbar Al Youm.
Automatiquement ça déchaîne la toile qui ne peut voir dans cette interpellation les fruits du hasard en dépit des éclaircissements juridiques données par les sources sécuritaires notamment sur Hespress qui n'arrivent toujours pas à donner une explication plausible à ce "hasard".
Le Parquet de son coté s'est cru obligé de diffuser un communiqué à ce sujet précisant que cette interpellation n'avait rien à voir avec "le statut de journaliste" de l’intéressée. En plus d'ajouter à la confusion dans quelle mesure ce communique ne porte-t-il pas atteinte ä la présomption d'innocence et surtout au secret de l'instruction ? Aux juristes et à la justice de répondre.?
En réalité, si les faits sont reconnus par le tribunal, la journaliste incriminée de par sa formation sait que l'avortement est un crime et est reconnu comme tel et sévèrement sanctionné.
Le vrai combat à mon humble avis est qu'il faut militer contre la pénalisation du l'avortement. Car les milliers de cas d'avortement effectués clandestinement se traduisent par des décès ou de graves complications irréversibles pour les femmes concernées.
De plus en plus des infanticides qui sont de crimes horribles on sait le sort réservé par certains parents pour des enfants non désirés qui se traduit souvent par de la maltraitance et la sortie en délinquance pour ces pauvres gosses.
En plus du cas de liberté individuelle reconnu par la constitution à chacun et du droit pour la femme de disposer de son corps, c'est donc d'abord une question de santé publique et l'Etat doit pouvoir traiter cette question comme telle.
En amendant le code pénal permettant ainsi l'IVG tout en la médicalisant et en la réglementant ceci permettrait d'éviter les décès mentionnés et les graves séquelles pour les femmes qui ne recourent pas aux médecins spécialement formés.
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